C’est ici mon commandement: aimez-vous les autres, comme je vous ai aimés. Jean 15:12.
Le Christ mit en pratique, au cours de sa vie, ses enseignements divins. Son zèle ne l’entraîna jamais à agir avec passion. La preuve de persévérance sans obstination, de bonté sans faiblesse, de tendresse et de sympathie sans sentimentalité. Il était éminemment sociable et montrait une dignité pleine de qui n’encourageait pas de familiarité déplacée. Sa tempérance n’est pas le portrait ni la bigoterie, ni vers l’austérité. Il ne se conforme pas au monde et ne reste pas indifférent aux besoins des petits. Sa bonté était en éveil à la vue des misères de tous les hommes.
De sa plus tendre enfance à l’âge d’homme mûr, le Christ mena une existence qui est le symbole parfait de l’humilité, de l’activité et de l’obéissance. Il était toujours plein d’attention et de prévenances pour les autres, toujours animé de désintéressement. Portant la marque divine, il était venu non pour être servi, mais pour servir. […]
La vie de désintéressement du Christ doit nous servir d’exemple. Le caractère du Sauveur demeure le modèle des caractères que nous avons passé si nous marchons dans l’empreinte des pas du maître.
Le tact et la sûreté de jugement multiplient l’efficacité d’un ouvrier. S’il faut que ce soit le moment opportun, dans un bon esprit, il exerce une influence bienfaisante sur le cœur de celui qui essaie de se détendre.
Nous pratiquons la prospérité à ceux qui ne font pas notre foi. Ils font au Christ et, au jour du grand règlement des comptes, nous les reverrons. Au cours du jugement, nous serons confrontés avec eux, et nos pensées, nos paroles et nos actions seront rapportées, non comme nous nous imaginions elles ont été été, mais elles ont évalué réellement. Dieu veut que nous nous aimions les uns les autres comme le Christ nous a aimés.
Auteur carmin