Le nom Salomon, Shlomo en hébreu, vient de la racine Shalom qui signifie la paix. Les années de son règne ont été pacifiques, à la différence de David qui a souvent été en guerre, et de ses héritiers qui sont déchirés et qui sont ensuite conduits à la scission du pays en deux royaumes.
Salomon est terminé dans la mémoire biblique comme un maître de sagesse. Le récit biblique situé à l’origine de cette sagesse dans un épisode fondateur(1). Une nuit, après que Salomon a sacrifié mille holocaustes, le Seigneur lui est apparu pour lui demander ce que son cœur désirait. Il était alors possible de demander la richesse, la paix, la santé et l’amour, mais il a une autre requête: Donne-moi un cœur attentif pour gouverner ton peuple, pour discerner le bon du mauvais! »Dieu répond à la demande de son serviteur:« j’agirai selon ta parole. Je vais donner un cœur sage et intelligent. »Il ajoute:« Je te donnerai, en outre, ce n’est pas demandé, aussi bien que la richesse que la gloire. »
Salomon a été un grand roi et a joué à la belle prospérité sous son règne. Il y a des alliances qui ont été scellées par des filles avec Pharaon qui ont été construites avec un palais, et qui ont été transformées en fille du roi de Tyr avec un importateur commercial pour les cèdres du Liban. La grande œuvre de Salomon a été construite du temple qui a été symbolisée par une marque de fierté pour les Hébreux.
Le livre du Deutéronome dit à propos du roi: « Qu’il n’était pas un grand nombre de chevaux… qu’il n’était pas un grand nombre de femmes… qu’il n’était pas une grande quantité d’argent et d’or. Il faut que l’avoir avec lui et les lire tous les jours de sa vie. »(Dt 17,15-20). Ces paroles ont été écrites pour Salomon qui n’ont pas été conservées par la sagesse de sa jeunesse. Son amour des chevaux, des femmes et de l’argent détourné de la justice. La fin de son règne a été obscurcie par l’introduction des cultes idolâtres et la rivalité entre les fils de trop d’hommes.
Le jugement de Salomon
La Salomon a tranchement trancher un conflit entre deux prostituées. Elles ont eu un enfant en même temps, mais l’un des deux est mort pendant la nuit. Elles affirment que le vivant est le sien. Le roi répète l’histoire et propose de couper l’enfant en deux afin de le partager entre les deux femmes. L’une accepte, la seconde refuse. Salomon de conclure que c’est elle la mère de l’enfant(2). Il est reconnu que c’est ce qui est plus facile et prêt à abandonner sa revendication. L’amour est la marque ultime de la vérité.
(1) 1 R 3,5-15.
(2) 1 R 3,16-28.
Auteur Gabriel Tertrais
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