Discerner la volonté de Dieu est fondamental, mais ce discernement est une myriade d’éléments à prendre en compte (la communauté actuelle et future, la famille, ses propres forces et faiblesses, etc.). Puis, il faut «bien transitionner», c’est-à-dire bien quitter et bien rejoindre. Là encore, une myriade d’éléments doit rentrer en ligne pour que chacun vive au mieux ce temps délicat.
Dans cet article, Philippe Halliday nous offre un condensé de sagesse, fruit d'une longue expérience, de nombreux accompagnements et plusieurs transitions dans leurs ministères respectifs. Issu of a exposé à la session de l’École pastorale, l’intervention orale de son intervention a été retenue.
Nous partons du postulat que nous sommes un pasteur est appelé par Dieu à la fois au ministère pastoral et à servir telle église en particulier. Il y a des engagements pris, de la part et d’autre. Il y a une alliance. Quitter une église ne se fait donc pas à la légère. La première question qui se pose est la suivante: «Quand faut-il quitter son église? »
Quand quitter son église
Les valeurs en jeu
On a tendance à aborder le ministère, même dans l’Église, comme cela se pratique dans n’importe quelle entreprise. Le jeune pasteur quitte la fac et commence son ministère dans une petite communauté puis, au fur et à mesure, dessert des communautés de plus en plus grandes. Néanmoins, on peut s'interroger sur cette manière de faire.
Pour ma part, j’ai quitté la faculté de Spurgeon, à Londres, il ya 30 ans. British Columbia Central Cities. Quand j’ai commencé mon ministère, il était habituel que les jeunes pasteurs baptisaient par desservi les Églises – en général plus petites et plus pauvres – dans les cités difficiles, et que les pasteurs avec (…)
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Auteur Alice Papin
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