«Je suis apaisé. J’étais totalement athée. J’ai trouvé la foi. C'est ce que l'on a dit devant le tribunal criminel de Nyon, mardi 11 juin, ce que l'on a surnommé le «pédophile de Gland» , comme l'a rapporté le quotidien 24Heures. Depuis trois ans, le détenu suivrait d’autre cours de théologie par correspondance. Après avoir purgé les deux tiers de sa peine, l’homme appuie aujourd’hui sa demande de liberté conditionnelle en raison de ce changement intérieur.
Si l'histoire a quoi que ce soit suscité par l'étonnement, quand ce n'est pas l'incrédulité, elle a été mise en lumière par une réalité bien connue des prisonniers, à savoir ce qui s'est passé soudainement milieu carcéral. Un mélange des genres, au final, pas si étrange que ça. Explications
Quête de sens
«La prison est un lieu propice à la réflexion, aux questions sur le sens de la vie», Sandro Agustoni, aumônier catholique dans le canton de Neuchâtel. «Les vendues ont le temps de penser. Ça tourne […]
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Auteur Alice Papin
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