Le comité Critiques et Appréciations du magazine BGospel a évalué la musique du pasteur Gerald Cius « Ou vo plis pou mwen ».
APPRÉCIATIONS
« Ou vo plis pou mwen » est une musique d’adoration qui, selon le texte, décrit un vécu personnel, une expérience avec Dieu. Dans ce texte, Dieu est présenté comme un Dieu protecteur et un Dieu réparateur.
L’orchestration est simple. La musique et les voix ont une bonne synchronisation. Bravo !
Le mixage et l’harmonisation des choristes sont bien faits. La mélodie est originale.
Certains participants de la vidéo, notamment les choristes, ont eu une attitude exemplaire.
Les remarques du comité concernent la vidéo, le chanteur principal et un instrument, particulièrement la basse.
CRITIQUES
L’éclairage de la vidéo est insuffisant, ce qui affecte la qualité visuelle. Certains éléments essentiels semblent avoir été négligés ou écartés au moment du tournage. Par exemple, maquillage approprié, décors et code vestimentaire.
La quantité de figurants par rapport à la taille de la scène a certainement affecté la qualité de la vidéo, en particulier la disposition des musiciens.
Pasteur Gérald Cius a démontré sa capacité comme chanteur principal, mais il a besoin de travailler pour combler ses faiblesses techniques au niveau de la voix.
La basse a été parfois trop présente et trop artificielle, ce qui a quand même affecté négativement le côté agréable de la musique.
RECOMMANDATIONS
Selon le format choisi pour faire la vidéo, il est essentiel de respecter les standards appropriés.
Il faut choisir le nombre de figures en fonction de plusieurs paramètres clés, comme le genre de musique, le scenario, la dimension de la salle, l’éclairage, le message à transmettre, l’habileté des acteurs à transmettre le message, etc.
Nous n’insisterons jamais assez sur ce point essentiel, une vidéo évangélique est avant tout un moyen d’évangélisation, c’est une offrande à Dieu, un produit qui glorifie Dieu.
Nous encourageons le pasteur Gerald Cius à renforcer ses techniques vocales, à faire attention au choix des figurants, et certainement à prioriser la qualité d’image le plus que possible.