analyse de musique gospel haitienne

Marthel Abel avec ce texte nous a démontré une artiste bourrée de talent, et notre première recommandation, c'est d'encourager l'artiste à avoir autour d'elle les bonnes personnes afin qu'elle puisse être conseillée comme il le faut.

Le comite Critiques et Appréciations du magazine BGospel a évalué la musique "Fè-l tankou li" de Galaxy évangélique.  Nos Appréciations : Galaxy évangélique a présenté un beau sujet. Un texte centré sur la parole de Dieu, comme il est écrit dans Marc 16:15 : "Allez dans le monde entier, et annoncez la Bonne Nouvelle à toute la création ». "Fè-l tankou li" se démarque par une magnifique structure musicale, commençant par le Slap du bassiste et en nous entraînant dans un voyage à travers de sympathiques mélodies. Les notes des trompettistes indiquant les transpositions, et un changement de chapitre marqué par le saxophone souple et agréable, en bref, ce compas en gamme mineur nous a présenté un Galaxy évangélique solide, qui continue à grandir en expérience. Les qualités de cette musique entraînante; une bonne orchestration, de talentueux musiciens, un sujet d'actualité. En résumé, c'est une excellente musique avec une touche typiquement Capoise. Nos Critiques : Le choix de la Basse et des cuivres pour introduire la musique est excellent, à l'exception du fait qu'on a l'impression d'une absence de souplesse, d'articulation entre les notes jouées par les trompettistes, ce qui amène un sentiment de trop de bruit, ce qui nous a donné une impression de fanfare. Les cuivres étaient-ils trop forts ? Le chanteur a une voix qui convient à la chanson. En revanche, on se demande est-ce que si l'on avait baissé la tonalité de la musique, l'impression de forcer la voix n'aurait pas disparu. Le premier couplet était difficile à comprendre, le second beaucoup moins. Les scènes avec « les personnages externes » auraient dû être remplacées par des scènes plus réalistes. L'incorporation de ses scènes n'a pas été très fluide, on avait l'impression d'une perte de signal entre deux chaines de télévision qui se chevauchent. Pendant que le claviériste jouait, la scène avec la personne qui buvait de...

Au début de la musique, les mots scandés ont apporté une touche originale. Cela révèle du même coup la potentialité de l'artiste à s'adapter à d'autres styles. Gardyn Mercier, Bravo !

sa première phrase commence par un mot qui laisse dans le trouble ? dit-il "Jezi" ou "Baby" ? Pourtant, plus loin dans le texte, il est question de "min enlè, jenou atè", il est question de "gras infini". "pa inkiete m de sa map ye demin", "benediksyon w kouvri mwen". "lè sintespriw desann mwen jwenn gras infini". Tant de contradictions nous ont incités à nous demander si l'artiste chantait vraiment pour Dieu ?