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Etats-Unis : divorce du premier évêque ouvertement gay L'évêque Gene Robinson, dont l'annonce de son homosexualité puis de son mariage avait provoqué d'importants remous au sein de la communauté anglicane des États-Unis, a fait part de son intention de divorcer. Une information transmise notamment par mail au diocèse du New Hampshire, où il s'était marié en 2010 avec son partenaire Mark Andrew et où il avait officié pendant neuf ans avant de prendre sa retraite en 2012. Gene Robinson a écrit un article à propos de son divorce dans le Daily Beast. S'il indique que « les détails de situation vont rester privés, comme il se doit », il affirme sa volonté d'être « aussi ouvert et honnête dans cette décision qu' été dans d'autres moments importants de vie ». Gene Robinson avait en effet été ordonné prêtre en 1973 et avait révélé son homosexualité en 1986 quand il avait divorcé de sa femme avec qui il a eu deux enfants. Il était alors devenu le premier évêque publiquement gay de la chrétienté, s'attirant les foudres de la communauté. Pour lui, son histoire montre que les hétérosexuels et homosexuels connaissent les mêmes difficultés de couple : « En tant que militant pour les droits des personnes LGBT et l'égalité des droits, je me console au moins un petit peu de constater que comme dans n'importe quel mariage, les couples gays et lesbiens connaissent les mêmes complications (...) que ceux qui touchent les couples hétérosexuels. Quand nous prononçons nos vœux, nous essayons tous avec sincérité, de parvenir à l'idéal du "jusqu'à ce que la mort nous sépare". Mais nous ne sommes pas tous en mesure de voir le jour où, effectivement, la mort nous sépare », a-t-il déclaré dans le Daily Best. « Ma foi dans le mariage n'est pas affectée par le...

Le comité Critiques et Appréciations du magazine BGospel a évalué la musique de Manoucheka Égalité "Jezi w se". APPRÉCIATIONS Dans l'ensemble, c'est une belle production. Le texte nous décrit ce que Dieu représente pour nous, surtout dans les moments de faiblesse. Ce chant glorifie un Dieu indispensable. La musique est belle. Un chant de reconnaissance et de témoignage, une belle mélodie. Les deux chanteuses ont parfaitement interprété leur partition à travers leur voix. La collaboration avec Loutchina Décius a été un atout pour la musique. Pour son entrée dans sa carrière solo, Manoucheka peut être fière de cette première musique. CRITIQUES Au niveau du texte, il y aurait plus à dire sur ce que Dieu est. Les reprises n'ont pas été une bonne idée. La vidéo manque de scénarios appropriés. La musique est une prière, une conversation avec Dieu. Nous croyons que les artistes ont passé trop de temps à fixer la caméra. Concernant l'enregistrement, nous avons l'impression que le mixage, notamment quand l'orchestre est au complet, est un peu trop fort. Les chanteuses n'ont pas été très satisfaisantes dans leurs attitudes, elles n'ont pas eu suffisamment de chorégraphie appropriée, elles ont eu une impression de timidité ou d'inconfort devant la caméra. RECOMMANDATIONS Il serait pertinent de se faire conseiller par certaines compétences confirmées du secteur en écriture, car il y aurait beaucoup plus à dire. Cela aurait été une façon plus efficace de toucher un plus grand nombre de personnes par les mots. Le fait de faire un vidéoclip devrait être considéré comme plus important qu'un simple outil marketing pour l'artiste, essentiellement dans le milieu évangélique.  Un bon scénario est indispensable. Le fait de témoigner l'importance d'un être suprême est une action qui suscite la Joie, la reconnaissance, la sécurité et l'assurance. Nous n'avions pas senti ses manifestations ou expressions pendant toute la chanson. C'est pourquoi il est nécessaire de se...

Le Comité Critiques et Appréciations du magazine BGospel a évalué la musique de Claire Calixte « Nou béni non ou ». APPRÉCIATIONS «Nou béni non ou » est une composition de l'artiste Claire Calixte. La musique est entrainante. Elle est un choix idéal pour plusieurs types d'activités chrétiennes. Le genre de musique qui a tout à fait sa place dans le répertoire chrétien. L'orchestration est agréable à l'oreille, tout comme la mélodie. La Chorale DEG a joué harmonieusement sa partition. La vidéo futuriste était une idée audacieuse, jusqu'à maintenant sans précédent. Bravo ! Nos commentaires concernent la qualité des images, les scénarios et quelques aspects techniques. CRITIQUES Le concept futuriste est une bonne idée, mais est-elle bien exploitée ? La vidéo nous présente une réalité virtuelle qui pendant les premières secondes a nourri beaucoup de suspens. C'est un texte d'exaltation qui pourrait facilement nous transporter dans une éternité grandiose et imaginaire avec des anges qui adorent le Dieu tout-puissant, mais hélas, ce n'est pas ce qui se passe ou ce n'est pas ce que les images ont pu montrer. On dirait que l'on manque d'idées, ou de budget. En arrivant à la salle virtuelle, il n'y a peu de choses qui pourraient susciter l'émotion. Certains pensent que la vidéo est un show off. En dépit de l'étonnement des acteurs à la fin qui supposerait qu'ils ont vu des choses qui n'ont pas été démontrés dans la vidéo, il y a peu de scène en lien avec le texte. Les images sont parfois un peu floues, il n'y a pas d'images de synthèses, ni d'émotions fortes, à l'exception de la bible remise à Claire Calixte. On ne peut pas dire que les acteurs qui avaient leurs casques de réalité ont été transportés dans une véritable réalité virtuelle. RECOMMANDATIONS Une belle musique et une idée audacieuse, cependant, une réalité virtuelle demeure ce qu'elle est. Nous...

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