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translate In what could be a prophetic sign for the church at large, Denmark's Parliament is forcing its will on the church. A new law there now mandates that churches in the nation conduct gay marriages instead of short ceremonial blessings that some pastors have been performing up until now. The new law does have one saving grace. Clergy can refuse to officiate the actual ceremony. Nevertheless, that bishop, pastor or priest is charged with arranging a replacement venue for the service. Denmark has sanctioned gay civil unions since 1989. The nation legalized gay marriage in 2012. Source: Charisma News  which country will be the next?
Soeur Raghida témoigne de la souffrance syrienne (RV) Entretien- Selon le constat fait par l’AED, l’Aide à l’Eglise à détresse, 10% des chrétiens ne peuvent vivre leur foi normalement et risquent leur vie en la confessant. La Syrie, autrefois l’un de pays les plus sûrs, est devenu une terre de combats acharnés dans lesquels les chrétiens sont particulièrement vulnérables. Ville symbole du martyre des chrétiens de Syrie, Maaloula, récemment reprise par les troupes loyales à Bachar El-Assad après avoir été sous la coupe des djihadistes, a été très largement détruite. Soeur Raghida, docteur en sciences de l’éducation, a été à la tête de l’école du patriarcat gréco-catholique à Damas, la capitale syrienne. Aujourd’hui elle vit en France. Elle a témoigné de son parcours lors de la nuit des témoins organisée par l’AED il y a quelques jours dans plusieurs églises et cathédrales de France. Sa mère et ses six frères et sœurs sont toujours en Syrie, où leurs vies sont tous les jours en danger et où ils subissent de nombreuses pressions. On l’écoute.   « Dans les villes ou villages qui sont occupés par les éléments armés, les djihadistes et tous les groupes musulmans extrémistes proposent aux chrétiens soit la chahada (la profession de foi musulmane, ndlr) soit la mort. Quelques fois, on demande une rançon. Donc, c’est entre la chahada, la rançon ou la mort. C’est impossible de renier leur foi donc, ils subissent le martyr. Et le martyr d’une façon extrêmement inhumaine, d’une extrême violence qui n’a pas de nom. Si vous voulez des exemples, à Maaloula, ils ont crucifié deux jeunes gens parce qu’ils n’ont pas voulu dire la chahada. Ils disent « alors, vous voulez mourir comme votre maître en qui vous croyez. Vous avez le choix : soit vous dites la chahada, soit vous êtes crucifiés ». Et...
Des personnalités « croyantes ou agnostiques » signent un manifeste contre la violence « usurpant la foi » « Inquiets et révoltés devant la montée d’une violence abjecte et lâche, usurpant la foi comme raison d’être, nous voulons rappeler ici que l’humanité est une, que la force des armes, qui n’est que la poursuite de celle des mots, n’est jamais un argument ni un chemin vers la victoire ». C’est par ces mots que commence le manifeste « Intégrisme religieux : appel à la vigilance », lancé par Jacques Attali et publié mardi 17 juin 2014 par l’Express. Une initiative de plus, témoignant de l’inquiétude née de la radicalisation – parfois violente – de jeunes musulmans, à l’image de Mehdi Nemmouche, suspecté du quadruple meurtre au musée juif de Bruxelles le 2 mai. Ses signataires rappellent que « ceux qui utilisent (NDLR : cette violence) ne sont que des ignorants à l’égard de leurs propres religions et de leurs propres cultures. Et que cette violence peut et doit être combattue par tous les moyens légitimes, et d’abord par une lecture contemporaine des textes de nos multiples traditions, religieuses ou laïques, respectueuse de la dignité humaine, par l’éducation des hommes et des femmes, par l’action politique, par la raison, par la culture, par l’art et par l’humour ». RESPONSABLES RELIGIEUX Le texte est signé par de nombreuses personnalités du monde médiatique (Christophe Barbier, Olivier Poivre d’Arvor, Roger-Pol Droit ou Frédéric Lenoir), politique (Bertrand Delanoë, Emmanuelle Mignon, Jean-Louis Bianco), ainsi que des universitaires (Luc Ferry, Maurice Godelier). Des responsables religieux ont également apporté leur soutien, côté musulman (Sadek Beloucif, Ghaleb Bencheïkh, Malek Chebel ou Mohammed Moussaoui, organisateur par ailleurs d’états généraux contre le radicalisme, ainsi que la mère d’une des victimes de Mohammed Merah, Latifa Ibn Ziaten), juif (Serge Klarsfeld, Théo Klein, les rabbins Michel Serfaty, Delphine Horvilleur, Haïm Korsia, candidat au poste de Grand rabbin de France, ou Rivon Krygier), protestant (Olivier...
Agence France-Presse Les troubles du sommeil augmentent le risque de devenir diabétique: la responsabilité d'un gène, qui joue un rôle clé dans le réglage de notre horloge biologique, vient d'être établie dans la forme la plus courante de la maladie, selon une équipe franco-britannique. Depuis quelques années, on sait qu'un mauvais sommeil augmente le risque de devenir diabétique, mais l'on ignorait pourquoi. L'équipe menée par des chercheurs de Lille vient d'établir la responsabilité d'un gène clé de la synchronisation de notre horloge biologique dans le diabète le plus répandu, le diabète de type 2 (90% des cas). Ces travaux, publiés dimanche dans la revue spécialisée Nature Genetics, pourraient déboucher sur de nouveaux médicaments pour soigner ou prévenir cette maladie métabolique, selon les chercheurs. Ils se sont intéressés au récepteur d'une hormone appelée mélatonine, produite par une petite glande du cerveau (l'épiphyse) quand la lumière décroît. La mélatonine, également appelée hormone de la nuit, joue le rôle de «gardien» de l'horloge biologique qu'elle synchronise avec la tombée de la nuit, explique le docteur Philippe Froguel de l'Institut Pasteur-CNRS/Imperial College London. Les chercheurs ont séquencé le gène «MT2» qui commande la synthèse de ce récepteur chez 7600 diabétiques et sujets normaux. Ils ont trouvé 40 mutations rares qui modifient la structure protéique du récepteur de la mélatonine que l'on trouve dans le pancréas et le cerveau. Parmi ces mutations, 14 rendent inopérant ce récepteur. Les porteurs de ces mutations qui les rendent insensibles à la mélatonine ont un risque de développer le diabète de près de sept fois plus élevé que les autres, assure le professeur Froguel. Toutefois, il évalue «à entre un et deux pour cents la proportion de diabétiques de type 2» concernés par ce dysfonctionnement génétique. «Cela n'explique pas tous les cas», dit-il à l'AFP en rappelant la diversité des causes génétiques du diabète. Au niveau thérapeutique, plutôt que...
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Dans l'acutalités...