biographie

Partout les difficultés s’amoncellent et les solutions se faisant rares, les rangs de l’église ont grossi. Ferveur et miracles au rendez-vous, du Cap à New-Delhi en passant par Kinshasa, Douala,… New-York ou Paris, les églises évangéliques séduisent de plus en plus de fidèles. Le secours divin est souvent porté par des prédicateurs formés pour toutes sortes de guérisons et de miracles. Le regretté Tommy Lee Osborn, qui a évangélisé dans plus d’une centaine de pays durant plus de soixante ans devant plus d’un milliard de personnes, aura marqué notre époque. Par cet américain, les paralytiques ont marché, les sourds ont entendu, les aveugles ont recouvré la vue, les muets ont parlé sur tous les continents, à la stupeur des quelques sceptiques qui se glissaient dans les rangs. Voici les miracles Agissant sous la bannière divine stipulant : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons… », ces envoyés font encore des choses extraordinaires. Dernièrement, le pugnace évangéliste congolais Jean-Oscar Kiziamina Kibila a fait marcher des paralytiques-nés au Gabon et au Cameroun. En France, l’un de ses premiers exploits date du début des années 2000 à Villeurbanne, où il fit marcher une femme infirme sous nos yeux. En Afrique australe, on amena à l’évangéliste puncheur Ayo Oritséjafor une femme enceinte depuis 32 mois. Avant que la main de l’évangéliste n’ait touché son ventre, cette femme enfanta au milieu de milliers de gens. Quant à Wallo Mutsenga Malachie, se trouvant à Kinshasa, une jeune femme qui ne voyait plus ses menstrues depuis 12 ans voulut le joindre par téléphone pour lui exposer sa frustration. A peine eut-il dit bonjour, que celle qui se trouvait à l’autre bout du fil en Europe, vit ses règles arriver spontanément après plus d’une décennie d’absence. En Belgique, Célestin Kibutu, fut...

Emylina Alexis

Emylina Alexis - Biographie Emylina Alexis est née le 9 Janvier 1987 à Port-au-Prince dans une famille nombreuse, dont cinq garçons et trois filles. Elle a grandi dans cette famille chrétienne dont son père, Pasteur Jean Wesner Alexis et sa mère, Emy Casimir Alexis, une couturière qui est passée au trépas quand elle n'avait que sept ans d'age. Cette disparition d'un être cher a engendré des manques d'affection, une tristesse continue et une profonde solitude. Cet alors, dans ces durs moments qu'elle va commencer à expérimenter la gloire de Dieu dans sa vie. Elle va traduire la solitude qui l'habitait par des mots qui deviendront des : poèmes, romans, chansons. Ceux-ci ne seront plus des oeuvres sociales, mais aussi des oeuvres évangéliques, quand plus tard dans les années Décembre 1999 elle remettait sa vie à Jésus-Christ comme son Sauveur et Seigneur personnel, et quand 2005 elle se faisait baptisée. Emylina a fait ses débuts à l'école classique l' ICMG, dans les cultes qui se tenaient chaque Vendredi ou elle pouvait mener l'adoration, apporter le message, et parfois participe au service d'accueil. Etudiante en musique depuis les classes préparatoires à la seconde, membre de la chorale du collège, elle s'est pris de passion pour la musique qui lui permettait d'être épanouie, joyeuse et en paix. On peut compter parmi ces expériences : Maestro de la Chorale Mattanyahou à l'Eglise Tabernacle du Plein Evangile de Jésus-Christ et Responsable des jeunes. Sans oublier son intégration à la Chorale Génération Choisie en 2008, et qu'elle a du laisser en 2011 pour répondre l'appel qui lui a été donné personnellement. << Quand on travaille avec les enfants, les jeunes, on développe chez soi la patience >> Une leçon qu'elle a tiré de son expérience avec Dieu et qu'elle continue à aprendre. Toutefois, Elle compte les supporter, les conseiller et...
Etats-Unis : divorce du premier évêque ouvertement gay L'évêque Gene Robinson, dont l'annonce de son homosexualité puis de son mariage avait provoqué d'importants remous au sein de la communauté anglicane des États-Unis, a fait part de son intention de divorcer. Une information transmise notamment par mail au diocèse du New Hampshire, où il s'était marié en 2010 avec son partenaire Mark Andrew et où il avait officié pendant neuf ans avant de prendre sa retraite en 2012. Gene Robinson a écrit un article à propos de son divorce dans le Daily Beast. S'il indique que « les détails de situation vont rester privés, comme il se doit », il affirme sa volonté d'être « aussi ouvert et honnête dans cette décision qu' été dans d'autres moments importants de vie ». Gene Robinson avait en effet été ordonné prêtre en 1973 et avait révélé son homosexualité en 1986 quand il avait divorcé de sa femme avec qui il a eu deux enfants. Il était alors devenu le premier évêque publiquement gay de la chrétienté, s'attirant les foudres de la communauté. Pour lui, son histoire montre que les hétérosexuels et homosexuels connaissent les mêmes difficultés de couple : « En tant que militant pour les droits des personnes LGBT et l'égalité des droits, je me console au moins un petit peu de constater que comme dans n'importe quel mariage, les couples gays et lesbiens connaissent les mêmes complications (...) que ceux qui touchent les couples hétérosexuels. Quand nous prononçons nos vœux, nous essayons tous avec sincérité, de parvenir à l'idéal du "jusqu'à ce que la mort nous sépare". Mais nous ne sommes pas tous en mesure de voir le jour où, effectivement, la mort nous sépare », a-t-il déclaré dans le Daily Best. « Ma foi dans le mariage n'est pas affectée par le...
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Dans l'acutalités...