collège

Biographie de Palmyre Séraphin Palmyre Séraphin est née à New York le 16 Octobre 1982. Elle commence à chanter à l’Age de trois ans en compagnie de sa mère qui la place sur une petite chaise à chaque fois qu’elles doivent chanter ensemble à l’église. Elle fait ses premiers pas en violon à Victorian school de Romel Joseph, violoniste de renommée internationale. Parallèlement elle apprend le piano avec Fritz Hunter professeur de piano au collège Bird et Richardson Léopold professeur à l’école de musique de Monette Léopold. A l’église, elle devient membre de quattuor forme avec des enfants de son Age. Tandis qu’elle grandit, elle découvre à onze ans, qu’elle pouvait interpréter des chansons de grands noms de la musique. Quand elle à seize ans, sa mère l’envoie chanter toute seule a sa place. L’épreuve est grande mais elle s’en acquitte à la satisfaction de Dieu et de toute l’église. En 1999 elle rentre à New York et entame de chanter solo, particulièrement a Gethsémané sa nouvelle église. Elle participe aussi à la fanfare et y joue la clarinette. C’est au collège ou elle débute ses études de droit quelle commence à s’intéresser beaucoup plus à la littérature et à la musique. Elle suit des cours en musique au collège qui n’en offre pas beaucoup parce qu’il tient plus à sa spécialité. En décembre 2004, Palmyre obtient son baccalauréat en pré-droit et se met en route vers une maitrise en éducation. Tandis qu’elle se préoccupe de sa Carrière d’enseignante de sciences et de littérature anglaise, Elle rencontre Wilkinson Theodore artiste très connu de la communauté évangélique Haïtienne qui manifeste de l’intérêt pour son talent. L’introduisant à d’autres artistes très connus de la communauté évangélique Haïtienne avec qui d’ailleurs elle a beaucoup travaille, Wilkinson Theodore l’introduit aussi au Brooklyn Tabernacle, une grande chorale de 300 membres...
Selon des recherches, près de la moitié des étudiants américains vont abandonner leur foi chrétienne au cours de leurs études de premier cycle. Moitié. La raison pour laquelle? Cela semble être bien plus qu'une simple rébellion contre une éducation, ou une exploration intellectuelle honnête. Il semble que l'environnement scolaire lui-même soit le coupable. Le Fuller Youth Institute a constaté que près du tiers des étudiants déclarent que leur institut d'enseignement supérieur ne leur est d'aucune aide pour maintenir ou développer leur foi. La plupart des universités diraient que l’examen de la foi dans un environnement stimulant sur le plan intellectuel, tel qu’un collège ou une université, devrait permettre de mieux comprendre les amarres théologiques d’une foi de l’enfance. Mais ce n’est pas ce qui se passe. Selon les recherches des politologues Robert P. Putnam et David E. Campbell, «les jeunes Américains abandonnent leur religion à un taux alarmant de cinq à six fois le taux historique (30 à 40% n’ont pas de religion aujourd’hui, versets 5- 10% il y a une génération). " Une autre étude a révélé qu’avec chaque année d’études, il y avait une augmentation de 15% du fait que l’étudiant croirait qu'il y avait une «vérité dans plus d’une religion» et qu'il croyait en une «puissance supérieure» plutôt qu’à un Dieu personnel. Dans Un esprit pour Dieu, J’ai parlé de l’expérience de ma fille aînée en première année dans l’une des plus grandes universités des États-Unis. Dans son premier cours d'histoire, sa professeure a pris l'initiative d'annoncer que toute la documentation historique sur laquelle repose le christianisme est fausse: Jésus n'a jamais prétendu être le Messie; aucun de ses disciples ne le vit divin jusqu'à des siècles après sa mort; aucun des évangiles n'était des comptes de première main; Jésus n'était pas une figure religieuse autant qu'il était politique; il n'y avait jamais eu l'intention...

Dans l'acutalités...