comment chercher Dieu

Aujourd'hui (23 novembre), Ty Brasel d'IVAV sort le clip officiel de "On Me" avec Jenna Wright. Le morceau est présenté sur la sortie récente de Brasel, Destiny: Vol. 1, et la vidéo musicale peut être visionnée ci-dessous. Élevé à la périphérie de Memphis, Brasel a lutté contre un comportement criminel avant de redécouvrir Dieu et de renouveler son objectif. Désormais une star du hip-hop motivée par la foi, il réfléchit à l'histoire de sa vie - et encourage les autres à surmonter leurs propres obstacles - avec sa dernière mixtape, Destiny: Vol. 1. Écoutez ICI. Publié par IVAV (une division hip-hop de Curb Records), Destiny: Vol. 1 regorge de rimes rapides, de crochets mélodiques, de rythmes percutants et de claviers célestes. Le résultat est un disque de hip-hop transgenre pour les sceptiques comme pour les croyants, livré par un artiste qui a fièrement troqué les ténèbres de son passé contre la promesse lumineuse d'un avenir meilleur. Produit par Dirty Rice, Joseph Prielozny et JuiceBangers, Destiny : Vol. 1 présente également des camées d'une longue liste de collaborateurs hip-hop, dont Jay-Way, J. Monty, Plan G, 1k Phew, Jenna Wright et Parris Chariz. Destin : Vol. 1 arrive dans la foulée de The Divine Storm en 2020 et de Destined For Greatness en 2018, deux albums solo dont le hip-hop met en évidence - y compris des succès viraux comme "Praying Hands", "Night Dreaming" et "Highlight" - a aidé Brasel à gagner plus de 52 millions de streams dans le monde. Il s'appuie sur ce succès avec Destiny: Vol. 1, mélangeant son penchant de longue date pour le rap du sud et la pop contemporaine avec des interludes atmosphériques, des paroles autobiographiques et l'élévation d'un autre monde de la musique gospel. Brasel...

Il y a quelques jours, Anthony Brown est retourné dans son université, la Morgan State University, à l'occasion de l'anniversaire du premier hit de Billboard No. 1, «Worth», qui a dépassé le tableau des Billboard Gospel Airplay pour le premier des 24 le 19 septembre 2015, le professeur Eric Brown de Brown, ancien professeur de piano, était sur place pour l'accueillir de nouveau dans l'institution qui a perfectionné ses talents musicaux naturels. Les stars du gospel, Maurette Brown Clark et Stephen Hurd, qui ont lu une lettre de félicitations spéciale du maire de Baltimore, Bernard C. Young, étaient également présentes. Alors que Brown clôturait ses remarques, Bryant Scott, président de Tyscot Records, s'est promené sur scène et l'a surpris avec un grand R.I.A.A. Plaque de disque en or certifié signant plus de 500 000 unités vendues pour le single numérique «Worth». Brown est véritablement pris au dépourvu et ému en appelant ses parents sur la scène pour accepter le prix avec lui. "Nous espérons que ce sera le premier d'une longue liste pour vous", a déclaré Scott. Sur les centaines de certifications d'or et de platine cette année, quatre seulement sont passées aux actes de l'Évangile. "Ma mère (m'a toujours dit), chaque fois que j'écris des chansons, écris des chansons qui rencontrent des gens là où ils vivent", a ensuite déclaré Brown aux journalistes. «Je n'ai jamais oublié ça. À partir du moment où Dieu a commencé à me donner des chansons, j'ai toujours essayé de les présenter d'une manière qui permettrait de rencontrer des gens là où ils vivaient ... Donc, il n'a jamais été question d'essayer de rechercher le succès, de grimper aucune de ces choses. Je savais simplement que si j'écrivais une chanson qui résonnait auprès des gens, elle irait là où il le faudrait ... Alors, ceci...

Un chrétien peut-il faire du profit? «Un chrétien peut faire du profit, à condition de ne pas tricher» Bernard Russi, né dans une famille protestante de Château-d’Œx en 1951, n’était pas croyant dans sa jeunesse.Image: Philippe Maeder PDG du groupe hôtelier Boas, à Crissier, Bernard Russi (65 ans) est aussi un chrétien revendiqué. Evangélique, converti il y a près de trente ans, il parle de son parcours religieux dans une conférence, aujourd’hui, à Fribourg (lire ci-contre). Comment peut-on concilier business et religion? Credo d’un entrepreneur qui travaille avec Dieu. Le business est-il compatible avec la foi? Bien sûr, regardez la parabole des talents dans la Bible. Celui qui n’a rien fait avec son talent est mal jugé. Ceux qui l’avaient fait fructifier ont été récompensés. Après, tout dépend de la façon dont vous gagnez de l’argent et de ce que vous en faites. Si vous écrasez les autres, si vous sous-payez votre personnel, si vous trichez, ce n’est pas juste. Mais, si votre business est correct, honnête, avec des règles claires et que l’argent gagné est déclaré, je ne vois pas le problème. Etre riche alors que des gens souffrent de pauvreté, vous ne trouvez pas cela contraire à l’Evangile? D’abord, je ne me considère pas comme riche. Mais sachez que c’est une chance d’avoir des riches, ils contribuent à assurer les tâches de l’Etat et notamment les services sociaux. Les riches investissent aussi, créent de l’emploi, contribuent à redistribuer la richesse. Les gens sont généreux, et je crois que c’est la majorité. Si chacun contribuait à donner une partie de son revenu à d’autres, notre société irait encore mieux. Tout le monde n’a pas votre sens moral! Certains profitent du système. Cette façon de faire me déplaît fortement. Certaines personnes n’ont que le profit en tête et se comportent n’importe comment. Je suis très libéral dans mes idées,...

"Le jour du sabbat, nous sommes sortis de la ville pour aller au bord de la rivière où nous pensions trouver un lieu de prière." Actes 16.13 S’il fallait ramener cet épisode dans votre contexte actuel, il serait facile de parodier le texte et d’imaginer ce que vous auriez pu faire. Vous venez d’arriver dans une ville vierge du message évangélique ; il faut atteindre le plus de monde possible. Quelles auraient été vos priorités ? Les miennes auraient sans doute été de rechercher un local pour ouvrir un lieu de culte, installer des chaises, préparer une mission d’évangélisation avec des musiciens, une sono, du matériel partout et dans tous les coins, et un évangéliste de renom ; puis faire connaître l’événement par tous les excellents moyens dont je dispose aujourd’hui (page écrite, flyers, cartons d’invitation, Internet, radio, médias etc.). Soyez honnête, vous auriez sans doute fait comme moi, parce que c’est notre culture évangélique qui veut cela ! Retrouvez le chemin de la prière combattante, revendicative (au sens noble du terme, vous avez le droit de revendiquer votre pays pour Jésus), ciblée et efficace ! Pourtant, pour cette génération de missionnaires qui va bouleverser le monde, l’essentiel, le prioritaire, le plus important n’est pas dans tout ce que j’ai pu citer plus haut (et qui, par ailleurs, n’est pas fondamentalement inutile), mais dans le fait de trouver un endroit où prier ! La prière, ils le savaient, est le moteur de toute véritable évangélisation. Le savez-vous encore ? La prière est le préalable à l’évangélisation de vos quartiers, de vos villes, de votre nation. Leur unique priorité c’est cela. Et la vôtre ? Il faut que vous cessiez de rechercher de nouvelles méthodes, venant d’on ne sait où, pour revenir au modèle laissé par Dieu et par sa parole ! Je dis souvent...