comment vivre pour dieu quand on est jeune

Le groupe culte allemand Outbreakband sort son nouveau single "Oase", traduit en anglais par "Oasis". Leur vision cherche à réveiller une passion pour le Seigneur et pour le culte chez les jeunes d'Allemagne et des pays germanophones limitrophes, ce que 'Oase' exprime lyriquement et musicalement. Le single est brillant et énergique, avec plusieurs synthés, un entraînement électrique et une sensation estivale fraîche. Avec des sons d'eau sous-jacents comme un clin d'œil au titre, 'Oase' développe la métaphore de la présence de Dieu comme un lieu de repos et de rafraîchissement au milieu des circonstances de la vie. C'est un chant de foi et un rappel de notre appartenance à un Dieu bienveillant et vivifiant. Mia Friesen, qui a co-écrit la nouvelle chanson avec Stefan Schöpfle, ajoute que "la chanson a une si belle légèreté musicale entrer dans la légèreté que Dieu a pour nous et chercher les oasis .” La conviction profonde d'Outbreakband et son expérience de la vie abondante de Christ ainsi que leur son clair brillent à travers 'Oase'. "Oasis" est disponible dès maintenant. La poste Outbreakband présente un nouveau single avant une année de nouvelle musique est apparu en premier sur TCA. Auteur : Jessie Clarks Lien vers la source de la publication (traduction de l'anglais vers le français par Google translate / Pour suggérer une correction, écrivez-nous via la page contact. Merci)
Qui est Garry St-Hubert? Ses débuts dans la musique ? Garry St-Hubert est un jeune que Dieu utilise pour sa mission. J’ai grandi dans la foi évangélique. Ma mère était chrétienne et chemine encore à la deuxième Eglise baptiste de Port-au-Prince, chez Pasteur Sénophat Point Du Jour. Déjà très jeune, elle m’emmenait aux cohortes. Nos voisines étaient chrétiennes et lorsqu’elle-même était empêchée, ces dernières me prenaient en charge. J’allais généralement à l’Eglise Nazaréen du Bel-Air. C’est là que j’ai commencé. C’est là que j’ai pris goût à la musique. Jamais je n’aurais cru devenir moi-même musicien. Dans mon église, J’étais toujours à la première rangée. J’aimais m’asseoir tout près des musiciens. Une fois de retour chez moi, je captais la Radio Lumière et là, je me procurais alors des baguettes et des marmites que je prétendais être mon jeu de percussion. Et j’accompagnais la musique de la radio. J’avais 4 ou 5 ans lorsque j’ai commencé à admirer certains artistes comme Joël Lorquet ! Quelle joie ce fut pour moi de me retrouver dernièrement sur scène avec lui, pour animer un club de louange et d’adoration organisé par Monique César Guillaume Ministères à Le Villatte. C’est ainsi donc que, tout jeune, j’ai commencé à aimer l’Eglise. Puis j’ai quitté Nazaréen pour aller chez Pasteur Sénophat Point Du Jour. Là j’ai fait les classes d’Ecole du Dimanche. Je me suis initié au théâtre avec Mme Alpha. Une fois j’ai représenté un des trois hébreux : Shadrack, Mescha, Abed Nego. Lorque je déménageai pour habiter Delmas, je me rapprochai d’une autre église. J’avais comme voisin Jézunel. Cela me fascinait de le regarder jouer de la guitare. Quand arriva l’heure pour lui de voyager pour bénéficier de sa résidence, il me promit de m’apprendre les notes de musique, les bases de la musique, les...
Les chocs peuvent être violents: on voit régulièrement des rugbymen sortir sur une civière suite à une percussion avec un adversaire; la commotion a entraîné une perte de conscience dont les conséquences peuvent être graves. Alors maintenant, de plus en plus, sur le genre de terrain pour les examinateur; sinon, ils continueraient à jouer! Nous connaissons tous des «Pertes de conscience», mais là, surtout sur le plan moral. La conscience touche le domaine moral. Pour parler de la conscience, l'Ancien Testament emploie le mot «cœur»; cette conscience est ce qui permet à l'homme de juger du bien et du mal. Mais la Bible nous montre que cette capacité a été perturbée profondément que l'être humain a voulu décider de lui-même ce qui était bien et ce qui était le pas, sans se soumettre à ce que Dieu avait décidé. «Mange librement des fruits de tous les arbres du jardin, avait dit l'Éternel, sauf le fruit de l'arbre du choix entre le bien et le mal. De celui-ci, tu n'en mange pas car le jour où tu es en mange, tu mourras » (Genèse 2v16). Mais Adam et Eve ont laissé de côté cette conscience de la volonté de Dieu pour acquérir une connaissance indépendante de celle de Dieu mais qui a plongé dans une perte de connaissance, spirituelle et moral. Le résultat est si sa conscience est perturbée: il appelle bien le mal, et mal le bien ; en particulier quand il a des pertes de conscience. http://agen.umc-europe.org/eglise/wp-content/uploads/2018/01/20180114-Jean-Ruben.mp3 Notre société s'enfonce de plus en plus dans la légalisation du péché ; mais en tant qu'individu, nous ne sommes pas exempts de ce risque; même en tant que chrétiens. C'est sur ce domaine que nous allons nous arrêter. Jésus, pour parler de la conscience, parle de l'intérieur intérieur : «Les yeux sont comme une lampe...
Les Ecritures assurent que la réponse à toute chose dans notre vie est la prière mêlée à la foi. L'apôtre Paul écrit : Philippiens 4 : 6 6 Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Paul nous dit : « Recherchez le Seigneur dans tous les domaines de votre vie. Et remerciez-Le à l'avance pour vous avoir entendu. » Paul insiste clairement : Priez toujours en premier ! Nous ne devons pas prier en dernier recours – allant d'abord voir nos amis, ensuite le pasteur ou un conseiller, et finalement finissant sur nos genoux. Non, Jésus nous dit : Matthieu 6 : 33 33 Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. Nous devons venir au Seigneur d'abord, avant quiconque ! C'est déchirant de lire les lettres envoyées à notre ministère par une multitude de chrétiens brisés. Les familles se déchirent, les époux divorcent, des gens qui ont marché fidèlement avec Christ pendant des années vivent dans la crainte et la défaite. Chacune de ces personnes a été submergée par quelque chose – le péché, la dépression, le monde, la convoitise. Et, année après année, leurs problèmes semblaient simplement devenir pires encore. Cependant, ce qui m'a le plus choqué dans leurs lettres était que peu de ces chrétiens mentionnaient la prière. Ils se sont tournés vers des cassettes, des livres, des conseillers, des thérapies de tous genres – mais rarement vers la prière. Ils se lancent dans chaque journée avec crainte et tourments, vivant avec un nuage suspendu au-dessus de leur tête, parce qu'ils n'ont aucune réponse à leurs problèmes. Pourquoi est-il si difficile pour les chrétiens, en temps de crise, de rechercher Dieu pour leur besoins les plus désespérés ? Après...
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Dans l'acutalités...