eglise evangélique

Ex-pasteur brésilien poursuit son église évangélique pour esclavagisme Un ancien pasteur brésilien a récemment intenté une action en justice contre l'une des plus grandes églises évangéliques du pays, l'Igreja Universal do Reino de Deus (IURD), l'accusant de l'avoir soumis à des conditions s'apparentant à de l'esclavage moderne. Cette affaire, qui a éclaté en janvier 2024, soulève des questions importantes sur les pratiques de travail au sein des organisations religieuses au Brésil. Une accusation choquante d'esclavage moderne Borba, qui a servi comme pasteur pendant 25 ans au sein de l'IURD, a déposé une plainte auprès du Tribunal du travail de São Paulo. Il réclame 5,6 millions de reais (environ 1,05 million d'euros) de dommages et intérêts pour les conditions de travail qu'il décrit comme inhumaines et assimilables à de l'esclavage. Les principaux arguments de l'ex-pasteur Les accusations portées par Borba sont graves et détaillées : Journées de travail excessives : Il affirme avoir été contraint de travailler jusqu'à 14 heures par jour. Absence de jours de repos : Selon lui, les pasteurs n'avaient pas droit à des jours de congé. Contrôle strict des activités personnelles : L'église aurait exercé un contrôle excessif sur la vie privée des pasteurs. Ces allégations, si elles sont prouvées, pourraient constituer une violation grave des droits du travail au Brésil. La réponse de l'Igreja Universal do Reino de Deus L'IURD a fermement nié les accusations de Borba. L'église maintient que les pasteurs sont des "collaborateurs religieux" et non des employés au sens traditionnel du terme. Elle affirme également fournir une formation adéquate et des ressources suffisantes pour le ministère de ses pasteurs. Un cas isolé ou la pointe de l'iceberg ? Cette affaire soulève la question de savoir s'il s'agit d'un cas isolé ou si d'autres situations similaires existent dans d'autres églises évangéliques au Brésil. Bien que ce cas soit particulièrement médiatisé, il n'est pas...
Un pasteur de l'église évangélique baptiste condamné pour non dénonciation de viol un jugement a été rendu ce mardi 13 décembre au tribunal correctionnel d'Orléans. Le pasteur de l'église évangélique baptiste de l'Orléanais qui était poursuivi pour non-dénonciation de crimes. En l'occurrence, des viols commis par Philippe Forest, un professeur de maths, très impliqué dans la vie de cette communauté protestante. Philippe Forest a été condamné en mars dernier par la Cour d'assises du Loiret à 16 ans de réclusion criminelle pour des viols et agressions sexuelles commis sur trois jeunes hommes, dont deux mineurs au moment des faits. la justice, et les victimes reprochent au pasteur de l'église évangélique baptiste de l'orléanais de n'avoir pas dénoncé ses crimes, alors que celui-ci s'était confié à lui. Lors de l'audience en novembre dernier, l'homme d'église avait raconté : "il m'a avoué qu'il avait déconné, mais il y avait une ambiguïté sur l'âge des victimes et leur éventuel consentement, j'ai eu le tort de ne pas creuser". Il s'était contenté de convoquer un conseil des anciens qui avait retiré ses responsabilités à Philippe Forest.
James Smith Alcindor est né en1983. Loin de sa tendre mère Claudette Alexandre Alcindor, il a Grandi avec son père Jean Alcindor et ses deux frères,
Scandale à Montréal : Un pasteur évangélique condamné pour corruption Le 28 février 2025, la communauté chrétienne de Montréal a été secouée par une affaire de corruption impliquant un leader religieux. Djolosoko Lomomba, pasteur évangélique de 66 ans, a été condamné à 23 mois de prison à domicile pour avoir produit de faux rapports de travaux communautaires en échange d'argent. Un stratagème bien rodé Le pasteur Lomomba, qui officiait à l'église Reflet de Christ, une église évangélique de Montréal, a plaidé coupable à des accusations de fraude et d'abus de confiance. Son stratagème consistait à falsifier des rapports de travaux communautaires pour des criminels ne souhaitant pas effectuer leurs heures de service imposées par la justice. Une peine qui soulève des questions La condamnation de Lomomba à la prison à domicile a suscité des débats sur la sévérité de la peine. Certains estiment que cette sanction est trop clémente pour un leader spirituel ayant trahi la confiance de sa communauté. Impact sur la communauté religieuse Cette affaire soulève des questions éthiques importantes au sein de la communauté chrétienne : Comment restaurer la confiance envers les leaders religieux ? Quelles mesures de contrôle devraient être mises en place dans les églises ? Quel est l'impact de ce scandale sur l'image des églises évangéliques à Montréal ? Un appel à la vigilance Le cas du pasteur Lomomba rappelle l'importance de la transparence et de l'intégrité dans les institutions religieuses. Elle souligne l'importance de rester vigilant face aux abus de pouvoir, même au sein des institutions censées promouvoir des valeurs morales.   Sources : https://www.tvanouvelles.ca/2025/02/28/la-prison-a-la-maison-pour-un-pasteur-corrompu-qui-faisait-de-faux-rapports-de-travaux-communautaires https://www.journaldemontreal.com/2025/02/28/la-prison-a-la-maison-pour-un-pasteur-corrompu-qui-faisait-de-faux-rapports-de-travaux-communautaires Communiqué officiel du tribunal de Montréal  
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Dans l'acutalités...