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Le mariage pour tous est devenu un thème qui concerne toutes les strates de la société. Les Eglises protestantes sont elles aussi sollicitées sur la question de la bénédiction des couples de même sexe. Toutes n’y répondent pas de la même manière. Quelles sont les grandes lignes de fracture entre Eglise réformée et évangéliste, entre Suisse alémanique et romande ? Qu’attendent les jeunes homosexuel-les de l’Institution ? Existe-t-il une théologie qui remet en question les normes identitaires ? Le cinéaste romand Lionel Baier évoque sa propre expérience en tant qu’homosexuel et fils de pasteur. Des paroles vivantes qui interrogent la capacité d’une société à inclure ou non l’ensemble de ses minorités. Les Eglises suisses divisées La bénédiction pour les couples du même sexe et la consécration d’une personne homosexuelle laissent apparaître des positions différentes entre Eglises réformées et évangéliques. Les Alémaniques se sont ouverts beaucoup plus tôt à la question que les Romands. Le point sur la situation. L’homosexualité, en tant que fait social et culturel incontournable, a poussé les différentes Eglises protestantes en Suisse à se positionner à la fois sur la question générale de la relation homosexuelle, mais également sur des problématiques concrètes comme la possibilité d’une bénédiction pour les couples du même sexe au sein des Eglises ou la consécration d’une personne homosexuelle. Les prises de position, extrêmement variées, laissent toutefois percevoir deux grandes lignes de démarcation : d’une part, entre les Eglises dites réformées, et celles dites évangéliques ; et, d’autre part, entre les cantons romands et les cantons alémaniques. Relation différente à la Bible En ce qui concerne les lignes des Eglises réformées et évangéliques, on peut constater que les premières prônent une position plutôt ouverte et accueillante à l’égard des homosexuels tandis que les secondes adoptent une attitude plus conservatrice voire homophobe. Cette différence s’explique avant tout par une...
By Dannah Gresh When we dress provocatively, we dishonor God and display a lack of regard for His holiness. We can also become a distraction for our brothers in Christ. I'd been traveling all weekend, and my flight from California to the East Coast got in at midnight. All I wanted to do was go home, drop my suitcases and hit the sack. But the story my husband had waiting for me made me drop my jaw and want to hit—well, not the sack! "She was just visiting our church service this morning," he began haltingly. He didn't notice her at first, he said. But then came "greeting time." "Bob, I'd like you to meet John's cousin," a friend said as he introduced her. That's when my husband's mind began to whirl. He'd heard about her. She was the one with the perfect—well, let's just say she qualified to be a fitting model for Victoria's Secret. You figure out what was perfect! Through the rest of the service he was restless. Intrigued. Annoyed. He wasn't the only one; I asked. Many of our friends were introduced to her that day, and like us, they had heard about her unique career. I asked all the men the same question: "What did she look like?" The funny thing is, none of them could quite remember her face. But they all remembered her skin-tight leather pants with the lace-up fly. Please understand that my husband, Bob, is a godly man in full-time Christian ministry. Like most men, though, he is subject to visual temptation. Christian psychologist Mark Laaser estimates that 30 percent of Christian pastors and leaders struggle with pornography. Among Christian men in general, more than 60 percent are estimated to struggle with continual sexual compulsions of some type. Those are scary numbers. I wouldn't share them with you if they hadn't been substantiated repeatedly. My husband's ministry...
Un groupe de 12 amis d’Atlanta, en Géorgie aux Etats-Unis ont mis leur admiration pour la chanteuse Beyoncé à un niveau plus spirituel. Zay de www.MapeNation.com rapporte que Pauline John Andrews est la fondatrice et l’auto -proclamé » ministre Diva » de la nouvelle Église nationale de Bey. Ce qui est maintenant connu sous le nom Beyism a commencé il y a environ deux ans dans un garage délabré au sud-ouest d’Atlanta. «Il y avait 12 d’entre nous », a expliqué Andrews, » et nous avions l’habitude de nous rassembler tous les dimanches et chanter ses chansons ensemble. Un jour, tout en buvant du Moscato et fumant du Beyha (marijuana), nous avons analysé une de ses chansons et sommes arrivés à la réalisation que Beyoncé est vraiment un être divin « . A partir de ce moment, allant de l’avant , Andrews a pris les rênes en tant que leader de la Divine Diva. Un certain temps dans l’été de 2013 , ils ont adopté le nom de « Église nationale de Bey » et se sont enregistrés comme une institution à but non lucratif. Pauline John Andrews se proclame le premier ministre Diva de l’Eglise nationale de Bey. Grâce à des fonds donnés, et par l’ensemble des 12 membres en vidant leurs comptes d’épargne, l’église a été en mesure d’acheter un bâtiment qui allait devenir leur premier temple. Le reste est l’histoire. Aujourd’hui, l’Eglise nationale de Bey est en plein essor et ne montre aucun signe de ralentissement. La congrégation a augmenté à 203 officielles Divine Divas. Une visite aléatoire au temple le samedi soir se révélera être une expérience intéressante. Vous obtiendrez d’écouter la ministre Diva Andrews prêcher dans le texte principal de Beyism connue d’eux comme le Beyble. Andrews explique: « Notre texte le plus sacré est une compilation de tous les versets...
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Dans l'acutalités...