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Soeur Raghida témoigne de la souffrance syrienne (RV) Entretien- Selon le constat fait par l’AED, l’Aide à l’Eglise à détresse, 10% des chrétiens ne peuvent vivre leur foi normalement et risquent leur vie en la confessant. La Syrie, autrefois l’un de pays les plus sûrs, est devenu une terre de combats acharnés dans lesquels les chrétiens sont particulièrement vulnérables. Ville symbole du martyre des chrétiens de Syrie, Maaloula, récemment reprise par les troupes loyales à Bachar El-Assad après avoir été sous la coupe des djihadistes, a été très largement détruite. Soeur Raghida, docteur en sciences de l’éducation, a été à la tête de l’école du patriarcat gréco-catholique à Damas, la capitale syrienne. Aujourd’hui elle vit en France. Elle a témoigné de son parcours lors de la nuit des témoins organisée par l’AED il y a quelques jours dans plusieurs églises et cathédrales de France. Sa mère et ses six frères et sœurs sont toujours en Syrie, où leurs vies sont tous les jours en danger et où ils subissent de nombreuses pressions. On l’écoute.   « Dans les villes ou villages qui sont occupés par les éléments armés, les djihadistes et tous les groupes musulmans extrémistes proposent aux chrétiens soit la chahada (la profession de foi musulmane, ndlr) soit la mort. Quelques fois, on demande une rançon. Donc, c’est entre la chahada, la rançon ou la mort. C’est impossible de renier leur foi donc, ils subissent le martyr. Et le martyr d’une façon extrêmement inhumaine, d’une extrême violence qui n’a pas de nom. Si vous voulez des exemples, à Maaloula, ils ont crucifié deux jeunes gens parce qu’ils n’ont pas voulu dire la chahada. Ils disent « alors, vous voulez mourir comme votre maître en qui vous croyez. Vous avez le choix : soit vous dites la chahada, soit vous êtes crucifiés ». Et...
Une vague de policiers qui s'attaquent à des chrétiens, barricadés dans la cour de leur église pour tenter de sauver la croix trônant en haut du bâtiment. La scène a été dévoilée lundi 15 septembre par CNN (en anglais), qui révèle que la communauté de Wenzhou, une ville située dans le sud-est de la Chine, est devenue la cible des autorités locales ces derniers mois. Plus de 300 vu leurs croix confisquées par les forces de l'ordre dans cette ville surnommée la "Jérusalem chinoise", à cause de son importante communauté chrétienne. Les autorités locales affirment que ces confiscations de croix et démolitions de certaines églises font partie d'un programme plus large, visant les "structures illégales de la province", rapporte CNN. Mais la communauté chrétienne de Wenzhou, qui dénonce la "barbarie" de ces opérations, affirme que ces violations des lieux de culte sont, en réalité, une tentative d'entraver leur liberté de culte. Une menace pour les autorités ? "La chrétienté a rapidement progressé durant les dernières décennies", explique Fenggang Yang, professeur spécialiste de la Chine, à CNN. Tant est si bien que cette religion pourrait, selon lui, bientôt dépasser le communisme en nombre d'adeptes. De quoi représenter une menace pour les autorités. Les actions contre les églises ont d'ailleurs été observées dans d'autres villes du sud-est du pays, rapporte l'International Business Times (en anglais). Les chrétiens de Wenzhou estiment, eux, qu'ils vivent actuellement la pire vague de répression ayant touché leur pays.   source:http://www.francetvinfo.fr/monde/asie/video-dans-la-jerusalem-chinoise-des-chretiens-s-opposent-a-la-destruction-de-leur-eglise_695373.html
Des personnalités « croyantes ou agnostiques » signent un manifeste contre la violence « usurpant la foi » « Inquiets et révoltés devant la montée d’une violence abjecte et lâche, usurpant la foi comme raison d’être, nous voulons rappeler ici que l’humanité est une, que la force des armes, qui n’est que la poursuite de celle des mots, n’est jamais un argument ni un chemin vers la victoire ». C’est par ces mots que commence le manifeste « Intégrisme religieux : appel à la vigilance », lancé par Jacques Attali et publié mardi 17 juin 2014 par l’Express. Une initiative de plus, témoignant de l’inquiétude née de la radicalisation – parfois violente – de jeunes musulmans, à l’image de Mehdi Nemmouche, suspecté du quadruple meurtre au musée juif de Bruxelles le 2 mai. Ses signataires rappellent que « ceux qui utilisent (NDLR : cette violence) ne sont que des ignorants à l’égard de leurs propres religions et de leurs propres cultures. Et que cette violence peut et doit être combattue par tous les moyens légitimes, et d’abord par une lecture contemporaine des textes de nos multiples traditions, religieuses ou laïques, respectueuse de la dignité humaine, par l’éducation des hommes et des femmes, par l’action politique, par la raison, par la culture, par l’art et par l’humour ». RESPONSABLES RELIGIEUX Le texte est signé par de nombreuses personnalités du monde médiatique (Christophe Barbier, Olivier Poivre d’Arvor, Roger-Pol Droit ou Frédéric Lenoir), politique (Bertrand Delanoë, Emmanuelle Mignon, Jean-Louis Bianco), ainsi que des universitaires (Luc Ferry, Maurice Godelier). Des responsables religieux ont également apporté leur soutien, côté musulman (Sadek Beloucif, Ghaleb Bencheïkh, Malek Chebel ou Mohammed Moussaoui, organisateur par ailleurs d’états généraux contre le radicalisme, ainsi que la mère d’une des victimes de Mohammed Merah, Latifa Ibn Ziaten), juif (Serge Klarsfeld, Théo Klein, les rabbins Michel Serfaty, Delphine Horvilleur, Haïm Korsia, candidat au poste de Grand rabbin de France, ou Rivon Krygier), protestant (Olivier...
Avec Dieu c'est toujours possible de devenir l'irresistible…l'imbattable, celui qui gagne toujours... David a écrit: “Avec toi, je me précipite sur une troupe bien armée, grâce à toi, je franchis des murs.” Psaumes 18:30 Reflexion: Comprendre un texte ecrit,  souvent, n'est pas si compliqué que ça, par contre quand c'est le temps d'appliquer la parole, tout devient difficile. La question qui se pose à l'instant; Pourquoi ne pas se laisser guider par Dieu comme un bébé dans les bras de maman? #guiderpardieu
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Dans l'acutalités...