Personnalité évangélique

Après le succès de son dernier single "God Of Abundance", sorti l'année dernière avec des critiques élogieuses et un soutien important, le chanteur, auteur-compositeur et musicien nigérian de Gospel basé au Royaume-Uni AYO DAVIES est de retour avec un tout nouveau single à lancer commencez l'année, intitulée "YOU ARE STILL GOD", aux côtés d'un clip musical émouvant qui vous fera vibrer. Produit par Evans Ogboi et tiré de son premier EP tant attendu et très attendu, "You Are Still God" voit Ayo Davies à son meilleur, alors qu'il exalte son Dieu en tant qu'Ancien des jours. Mené par la glorieuse performance vocale d'Ayo et une chorale luxuriante soutenant des harmonies vocales, sur une ballade au piano à queue, avec des arrangements de batterie gratuits, "You Are Still God" est une chanson de culte glorieuse et puissante pour les âges. Pour son clip "You Are Still God", Ayo Davies s'est associé au célèbre cinéaste Iyke Eche de HSIdeas, qui a déjà travaillé avec Muyiwa, Joe Mettle et Victoria Orenze, pour n'en citer que quelques-uns. Ensemble, ils ont créé un chef-d'œuvre de narration visuelle à plusieurs niveaux sur la façon dont Dieu reste fidèle, de génération en génération, et comment sa parole est le modèle pour les générations. Parlant de l'inspiration pour 'You Are Still God', Ayo Davies dit : "En étudiant la parole de Dieu dans ma quête pour mieux le connaître et comprendre ses voies, j'ai été conduit au livre de l'Exode en lisant comment Dieu a fait sortir les Israélites d'Égypte. La parole que j'ai reçue était que si Dieu ne perdait pas la bataille contre Pharaon et les Égyptiens, alors Il n'est pas sur le point de perdre mes batailles parce qu'Il est toujours le même Dieu. J'ai commencé à l'adorer et à Le remercier avec ces paroles et la chanson 'Tu es toujours Dieu'...

Daniel Bernabe est un peintre haïtien des beaux-arts, professeur d'anglais et de français et auteur. Il a été interprète pour de nombreux missionnaires chrétiens américains en Haïti de 1999 à 2012.

Issu d’une famille moyenne, des parents cultivateurs qui luttent pour la survie de leurs enfants, le Maire Wilson Jeudi est né le 6 octobre 1963 à l’hôpital La Providence des Gonaïves. Avocat, douanier, comptable, il a aussi fait des études en psychologie des relations humaines.

Voici mes jours, voici mes sentiers, voici mes rêves… Nantie d’un charisme, d’une passion, d’un courage et d’une voix puissante Charlson « Poppy» Duverné, a reçu ce don de Dieu, d’émerveiller les gens en chantant, jouant de la musique et même en composant. Il a grandi avec la musique dans le sang, et depuis son jeune âge il explore ce domaine lentement en suivant les traces de son célèbre oncle Rigaud Duverné. Né en Haïti un 25 mai, enfant unique il a toujours manifesté de l’intérêt pour la musique et c’est ainsi qu’il manie plusieurs instruments de musique dont la guitare, le piano et la batterie et qu’il chante en français, anglais et le créole. Il perce les chemins en participant à divers concerts spectacles locaux et en collaborant avec plusieurs artistes de la ville. En 2003, il remporte le prix de l’artiste de l’année par l’émission souffle matinale en Haïti. 2004 c’est le prix meilleur voix masculine décerné par l’association des radios évangélique en Haïti Il participe la même année sur la musique “yon chans pou Gonaïves“ après l’inondation de la ville des Gonaïves. Poppy se perfectionne dans le style de musique évangélique et du monde (world beat) accompagné du folklore Ce jeune chanteur incroyable par la diversité de ses talents a marqué le monde évangélique en participant à plusieurs projets et à la formation de plusieurs groupes tel que Alabanza, Zetwal, Revelasyon, Genesis, Salem International et Jehud qui ont amplement jouit de ses talents. Poppy ne met pas de limite au don qu’il a reçu de Dieu et il nous l’a prouvé avec des collaborations hors pair avec Maggy Blanchard, Wyclef Jean. D’autant plus, il apporte continuellement son talent dans l’univers de la musique haïtienne avec des groupes comme Nou 2, B12, K-Priss et sur le “Mannigueta” du Djakout Mizik. A deux reprises...