politique

Andrelle Joseph est née le 17 juin 1978 à Cap-Haïtien, Port-au-Prince, Haïti ; le corps du Christ a reçu un don de Dieu lorsque Andrelle est née. Elle est un oracle de Dieu, une apôtre de la grâce, une revivaliste passionnée et un prophète d'espoir. Un missionnaire courageux auprès des nations, un ambassadeur du Christ et un grand patriote haïtien ; Elle est une enfant ointe du Seigneur. Andrelle grandit dans un foyer chrétien. Elle a appris à adorer et à louer Dieu, à partir d'un début jeune et tendre. Elle est l'incarnation vivante de l'Écriture. Ayant grandi dans une famille chrétienne avec une base profonde de la parole et de la crainte de Dieu, cela a formé une base très solide de ses ministères de musique et de prédication. Elle a reçu le Seigneur Jésus comme son sauveur personnel à un âge précoce, en Haïti et a été remplie du Saint-Esprit. Appelée au ministère depuis sa nouvelle naissance, elle a travaillé au cours des vingt dernières années dans différentes fonctions ministérielles et de direction et a amené de nombreuses personnes à la connaissance salvatrice de Jésus-Christ et à la compréhension de la parole de Dieu. Andrelle Joseph est puissamment utilisé par Dieu dans la délivrance, l'intercession, l'évangélisation, la louange et l'adoration, de l'Inspiration Ensemble, la guérison et le combat spirituel. En tant qu'artiste internationale de gospel de 1980 à aujourd'hui, et évangéliste internationale et artiste de gospel, elle a administré et dirigé de nombreuses croisades évangéliques, concerts de gospel et conférences sur le leadership à travers les États-Unis, le Canada et les Antilles. Sa formation formelle comprend un diplôme d'associé en sciences politiques, communication et langues de l'Académie nationale diplomatique et consulaire de Port-au-Prince. Chanteur de gospel, auteur-compositeur, musicien, producteur, compositeur, acteur, animateur de radio, militant, humanitaire,  Andrelle Joseph Dossous est dans...
L'ARC 2025 : Quand la foi évangélique rencontre la politique conservatrice Du 17 au 19 février 2025, Londres a vibré au rythme de la conférence de l'Alliance for Responsible Citizenship (ARC), un événement qui a fait converger foi chrétienne et politique conservatrice. Cette rencontre a rassemblé plus de 4 000 leaders, majoritairement issus des milieux évangéliques, pour débattre de l'avenir de la société à travers le prisme des valeurs chrétiennes. Un rassemblement qui fait parler Voici les détails clés de l'événement : Date : 17-19 février 2025 Lieu : Centre de conférences ExCeL, Londres Têtes d'affiche : Jordan Peterson, Kemi Badenoch, Os Guinness Prix : Non communiqué publiquement Le message central : Une vision chrétienne de la société L'ARC 2025 a mis en lumière une tendance croissante : l'alliance entre le conservatisme politique et le christianisme évangélique. Les orateurs ont abordé des sujets brûlants tels que l'identité humaine face à l'intelligence artificielle, le rôle de la foi dans la sphère publique, et la nécessité d'un "réveil spirituel" dans nos sociétés modernes. Peter Thiel, figure emblématique de la Silicon Valley, a notamment captivé l'audience en liant étroitement l'identité humaine à la vision chrétienne, tout en mettant en garde contre les dangers potentiels de l'IA. Débats et controverses : La foi au cœur des discussions La présence de Jordan Peterson, psychologue canadien connu pour ses positions controversées, a suscité de vifs débats. Bien qu'il cite fréquemment la Bible, son engagement personnel dans la foi chrétienne reste ambigu, ce qui n'a pas manqué d'alimenter les discussions parmi les participants. L'impact sur le paysage politico-religieux L'ARC 2025 s'inscrit dans un mouvement plus large de rapprochement entre politique conservatrice et christianisme évangélique, particulièrement visible aux États-Unis et au Royaume-Uni. Cette alliance soulève des questions cruciales sur l'avenir de la séparation entre l'Église et l'État, ainsi que sur l'influence grandissante des valeurs religieuses dans le...
La transition de l'influence évangélique vers la laïcité : études de cas historiques et contemporaines L’influence des mouvements évangéliques sur les sociétés a parfois conduit à des tensions entre la sphère religieuse et les principes laïques, notamment lorsque des scandales ou des événements politiques ont ébranlé la confiance publique. Ce rapport examine plusieurs cas où des régions ou villes initialement marquées par un fort ancrage évangélique ou religieux ont opéré une transition vers un modèle plus sécularisé, souvent en réponse à des crises institutionnelles, des abus de pouvoir ou des conflits sociétaux. 1. Brésil : L’essor et les limites du pouvoir évangélique dans un État constitutionnellement laïc Le Brésil, constitutionnellement laïc depuis 1891, a connu une montée en puissance des églises évangéliques à partir des années 1980, notamment les courants pentecôtistes et néo-pentecôtistes. Ces groupes, tels que l’Église universelle du Royaume de Dieu, ont capitalisé sur leur implantation dans les quartiers populaires et leur usage médiatique pour devenir des acteurs politiques majeurs. Leur soutien à Jair Bolsonaro en 2018 illustre leur capacité à mobiliser des électorats autour d’un discours conservateur. Cependant, l’alliance entre évangéliques et pouvoir a exacerbé les tensions avec d’autres groupes religieux et suscité des critiques sur la neutralité de l’État. Les scandales de corruption, comme le Lava Jato (2014-2015), ont affaibli les partis traditionnels et renforcé les appels à une séparation plus stricte entre religion et politique. Bien que le Brésil reste majoritairement religieux, ces crises ont alimenté un débat sur le respect de la laïcité constitutionnelle. Lisez : Jeunes chrétiens face au Carnaval : analyse biblique complète 2. Besançon (France) : Le déclin d’une église évangélique emblématique Fondée en 1963 par Aldo Benzi, l’Église évangélique La Mission de Besançon a connu un essor rapide, comptant jusqu’à 4 000 membres dans les années 1980. Son influence s’étendait à travers un réseau national d’églises. Toutefois,...
Fraichement installé, le nouveau comité exécutif de la Fédération Protestante d’Haïti se trouve déjà confronté à l’épineuse question de la conjoncture politique actuelle. Dans une note de presse publiée le jeudi 26 septembre 2019, le nouveau directoire de la FPH s’est prononcé sur la crise actuelle en exhortant les autorités politiques, spécialement le Président de la République, à prendre une « décision de sagesse » afin d’éviter plus de souffrance au peuple haïtien. Pour sa première communication officielle, la nouvelle équipe de la FPH, conduite par le pasteur Calixte Fleuridor, a pointé du doigt tous les acteurs de la crise. Des représentants des trois pouvoirs incapables de répondre aux exigences de leurs fonctions aux leaders des mouvements de protestations en passant par les manifestants usant par moment d’une violence non ménagée contre les biens publiques et privés, tous ont eu droit à leurs petits recadrages. « A défaut de pouvoir construire le pays, cessez de le détruire. Créez les conditions pour que des ressources compétentes et crédibles puissent participer à la gestion de la chose publique ». Des propos qui sonnent comme des réprimandes aux oreilles des dirigeants et des membres de l’opposition. Le comité invite également les acteurs à l’unité et au dialogue pour offrir au pays et au peuple haïtien une nouvelle direction, un discours qui ressemble étrangement à celui du premier citoyen de la nation critiqué également dans cette même note pour son mutisme et le faible impact de sa dernière intervention. Cette nouvelle administration, n’ayant pas encore affronté la presse frontalement et forcé de prendre position sur certains sujets, peut se permettre de modérer ses opinions, du moins pour l’instant. Elle devra être plus tranchante, toutefois, pour mieux se situer par rapport à une crise qui ne cesse de prendre des proportions inquiétantes. Auteur: Erick Jura
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Dans l'acutalités...