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Le président de la Fédération protestante de France, Christian Krieger, a reçu la Légion d’honneur Le 18 décembre, à l'Elysée, le président Emmanuel Macron a décerné à Christian Krieger, président de la Fédération protestante de France (FPF), la prestigieuse Légion d'honneur. Cet événement cérémonieux revêt une profonde signification car il constitue une profonde reconnaissance du protestantisme français par le Président de la République. Dans un communiqué du 19 décembre, le gouvernement français a décerné au président de la FPF le symbole de l'excellence et du dévouement au service de la nation. Ce geste témoigne de l'incarnation par l'organisation de valeurs de longue date telles que l'unité, la liberté individuelle et un solide respect interpersonnel. A noter que François Clavairoly, le prédécesseur de Christian Krieger, a également reçu cette prestigieuse reconnaissance en 2015. L'importance de la reconnaissance des différentes communautés au sein de la Fédération protestante est soulignée par cette reconnaissance prestigieuse accordée par la République française. Lors de la cérémonie, le président Emmanuel Macron a souligné les contributions notables des protestants à la formulation de la loi historique de séparation entre les Églises et l'État en 1905.   Source de l'information Suivez-nous sur Facebook Eglises,France,Politique,Protestantisme,Société Qu’est-ce que c’est ? La Légion d’honneur est la plus haute distinction française et l’une des plus connues au monde. Depuis deux siècles, elle est remise au nom du Chef de l’Etat pour récompenser les citoyens les plus méritants dans tous les domaines d’activité. A quoi ça sert ? En tant que distinction honorifique, la Légion d’honneur ne s’accompagne d’aucun avantage matériel ou financier réels. En revanche, c’est une source de fierté inestimable pour les récipiendaires et leurs proches et un exemple de civisme rendu public. Qui peut l’obtenir ? Tout citoyen français sans casier judiciaire ayant fait preuve de mérites éminents au service de la nation, à titre militaire ou à titre civil. Il faut avoir au minimum 20 années...
Pays religieux vs pays laïques : Une analyse des richesses, de la qualité de vie et des classements mondiaux Dans le monde d'aujourd'hui, la relation entre religiosité et développement socioéconomique suscite de nombreuses interrogations. Certains pays, comme l'Arabie saoudite ou les États-Unis, combinent une forte empreinte religieuse avec une richesse économique importante. D'autres, comme la Norvège ou le Japon, qui sont majoritairement laïques, figurent parmi les nations les plus avancées en termes de qualité de vie et d'équité sociale. Mais comment ces deux groupes se comparent-ils réellement ? Quels sont les pays les plus riches parmi ceux ayant une religion d'État, et comment se positionnent-ils face aux pays laïques dans les classements internationaux ? Cet article explore ces questions en examinant des données clés sur la richesse, l'IDH (Indice de Développement Humain), le positionnement géopolitique et les valeurs culturelles. Les pays religieux : Richesse et défis structurels Parmi les pays ayant une religion officielle ou une forte empreinte religieuse, certains se distinguent par leur richesse économique. Les États-Unis, avec un PIB par habitant de 76 399 $, dominent grâce à une économie diversifiée et innovante. Cependant, des inégalités sociales importantes limitent l'accès aux services pour une partie de la population. De même, l'Arabie saoudite, avec un PIB par habitant de 55 368 $, tire sa richesse principalement de ses ressources pétrolières, mais reste confrontée à des défis liés aux droits humains et à l'égalité des genres. En revanche, des pays comme l'Inde (PIB/habitant : 2 610 $) ou le Nigeria (539 $) illustrent que la richesse économique n'est pas systématiquement liée à la religiosité. Ces nations font face à des problèmes structurels tels que la pauvreté généralisée et les conflits internes, malgré leur importance géopolitique croissante. Lisez : Jeunes chrétiens face à la Saint-Valentin : défis et opportunités Les pays laïques : Modèles d'équité et de...
De même que le christianisme de la fin du 19e siècle s'est largement réorganisé face à la question sociale, en pensant des formes inédites de solidarité, les implications de la mondialisation actuelle, autant que l'intérieur de nos sociétés , à la hauteur de ces défis. Une journée de débats tous azimuts et sans tabous, avec des ateliers de réflexion: Programme: La solidarité, hier et aujourd’hui (11h30-13h) Frédéric Rognon (Université de Strasbourg) Eric Thimel (délégué départemental du Secours catholique et pilote du réseau Anaïs, Nîmes) Philippe Verseils (secrétaire général de la Mission populaire, Paris) Pause brunch (13h-14h) La fabrique des précarités (14h-15h) Marie Orcel (secrétaire générale de l’Association Protestante d’Assistance, Nîmes) Christophe Deltombe (ancien président d’Emmaüs, président de la Cimade) Ateliers et pause café (15h-16h30) Changer de politique, changer d’imaginaire (16h30-18h) Nicolas Cadène (rapporteur de l’Observatoire de la laïcité) Olivier Abel (Institut Protestant de Théologie, Montpellier) Georgina Dufoix (ancienne ministre des Affaires sociales) Modération de l’ensemble de la journée: Nathalie Leenhardt, directrice de Réforme En lien avec le numéro des Cahiers du christianisme social de la revue Foi & Vie 2018/4 Nouvelles richesses, nouvelles pauvres. Repenser nos solidarités (offert aux participants avec le dossier participant) Pour s'inscrire (participation aux frais de 10 €), cliquer sur ce lien. L’article Sixième convention du Forum protestant est apparu en premier sur Regardsprotestants. Auteur Gabriel Tertrais Source de la publication
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