protestantisme

Le mariage pour tous est devenu un thème qui concerne toutes les strates de la société. Les Eglises protestantes sont elles aussi sollicitées sur la question de la bénédiction des couples de même sexe. Toutes n’y répondent pas de la même manière. Quelles sont les grandes lignes de fracture entre Eglise réformée et évangéliste, entre Suisse alémanique et romande ? Qu’attendent les jeunes homosexuel-les de l’Institution ? Existe-t-il une théologie qui remet en question les normes identitaires ? Le cinéaste romand Lionel Baier évoque sa propre expérience en tant qu’homosexuel et fils de pasteur. Des paroles vivantes qui interrogent la capacité d’une société à inclure ou non l’ensemble de ses minorités. Les Eglises suisses divisées La bénédiction pour les couples du même sexe et la consécration d’une personne homosexuelle laissent apparaître des positions différentes entre Eglises réformées et évangéliques. Les Alémaniques se sont ouverts beaucoup plus tôt à la question que les Romands. Le point sur la situation. L’homosexualité, en tant que fait social et culturel incontournable, a poussé les différentes Eglises protestantes en Suisse à se positionner à la fois sur la question générale de la relation homosexuelle, mais également sur des problématiques concrètes comme la possibilité d’une bénédiction pour les couples du même sexe au sein des Eglises ou la consécration d’une personne homosexuelle. Les prises de position, extrêmement variées, laissent toutefois percevoir deux grandes lignes de démarcation : d’une part, entre les Eglises dites réformées, et celles dites évangéliques ; et, d’autre part, entre les cantons romands et les cantons alémaniques. Relation différente à la Bible En ce qui concerne les lignes des Eglises réformées et évangéliques, on peut constater que les premières prônent une position plutôt ouverte et accueillante à l’égard des homosexuels tandis que les secondes adoptent une attitude plus conservatrice voire homophobe. Cette différence s’explique avant tout par une...
Pasteur Gregory Toussaint est né en Haïti, dans la commune de Carrefour, banlieue sud de Port-au-Prince, la capitale. Jusqu'à l’âge de 7 ans, il fréquentait l’Eglise Évangélique Indigène d'Haïti et était inscrit à l’école Notre-Dame de L’Assomption à Carrefour. Ayant démangé à Lalue, un haut quartier de Port-au-Prince, il a poursuivi ses études secondaires au Collège le Normalien et a fréquenté l’Eglise Apostolique de la Foi.
Le président de la Fédération protestante de France, Christian Krieger, a reçu la Légion d’honneur Le 18 décembre, à l'Elysée, le président Emmanuel Macron a décerné à Christian Krieger, président de la Fédération protestante de France (FPF), la prestigieuse Légion d'honneur. Cet événement cérémonieux revêt une profonde signification car il constitue une profonde reconnaissance du protestantisme français par le Président de la République. Dans un communiqué du 19 décembre, le gouvernement français a décerné au président de la FPF le symbole de l'excellence et du dévouement au service de la nation. Ce geste témoigne de l'incarnation par l'organisation de valeurs de longue date telles que l'unité, la liberté individuelle et un solide respect interpersonnel. A noter que François Clavairoly, le prédécesseur de Christian Krieger, a également reçu cette prestigieuse reconnaissance en 2015. L'importance de la reconnaissance des différentes communautés au sein de la Fédération protestante est soulignée par cette reconnaissance prestigieuse accordée par la République française. Lors de la cérémonie, le président Emmanuel Macron a souligné les contributions notables des protestants à la formulation de la loi historique de séparation entre les Églises et l'État en 1905.   Source de l'information Suivez-nous sur Facebook Eglises,France,Politique,Protestantisme,Société Qu’est-ce que c’est ? La Légion d’honneur est la plus haute distinction française et l’une des plus connues au monde. Depuis deux siècles, elle est remise au nom du Chef de l’Etat pour récompenser les citoyens les plus méritants dans tous les domaines d’activité. A quoi ça sert ? En tant que distinction honorifique, la Légion d’honneur ne s’accompagne d’aucun avantage matériel ou financier réels. En revanche, c’est une source de fierté inestimable pour les récipiendaires et leurs proches et un exemple de civisme rendu public. Qui peut l’obtenir ? Tout citoyen français sans casier judiciaire ayant fait preuve de mérites éminents au service de la nation, à titre militaire ou à titre civil. Il faut avoir au minimum 20 années...
Le Carême est lié à la pratique de l'Église catholique. L’Église protestante, d’abord opposée au jeûne, découvre actuellement ses vertus, lui donnant un nouveau sens. Le jeûne consiste à se volontairement volontairement de nourriture. Ce n'était pas une pratique qui caractérise le christianisme. Il est présent dans un grand nombre de religions très différentes. Nous n’avons ici que les trois grandes familles de la religion chrétienne, à l’intérieur desquelles il faut tenir compte et autres dénominations. Dans l’orthodoxie? L’année orthodoxe compte quatre grandes assurances de viande, de poisson et de la viande: le Grand Carême (sept semaines avant Pâques); la jeûne des apôtres, qui commence un lundi, se termine après la fête de Pentecôte, et se termine le 28 juin, veille de la fête des saints Pierre et Paul; le jeûne de l’Assomption (1er au 14 août); jeûne de Noël, qui dure 40 jours, du 15 novembre au 24 décembre. Dans le catholicisme? L’Église catholique appelle ses fidèles à jeûner (all over the viande) tous les vendredis de l’année, pendant que la période du Carême. Elle a également précisé deux jours de questions spécifiques: le mercredi dit «des cendres» et le vendredi «de la passion et de la mort de notre Seigneur Jésus-Christ». «Jeûne assure les temps d’anticipation et de pénitence qui nous préparent aux fêtes liturgiques et nous nous apprenons à acquérir la maîtrise sur nos instincts et la liberté du cœur. »(Catéchisme de l’Église Catholique). Dans le protestantisme? La Réforme au XVIe siècle a été arrêté à la pratique religieuse du jeûne. Les réformateurs et l'esprit de l'Eglise catholique de l'époque. Les réformateurs ont rejeté en pratique les pratiques d’autojustification. Pour Martin Luther, toute la vie est pénitence; une pratique spécifique n'est plus nécessaire. Pour Jean Calvin, il vaut mieux s'abstenir pour devenir meilleur pour de mauvaises raisons. Aujourd’hui, c’est en biais des...
- Advertisement -

Dans l'acutalités...