saxophone

Uriel Vega - musicien Uriel est né en 1985 à Mexico. Il a commencé à jouer du saxophone à l'âge de 10 ans. Il a rapidement développé son talent en enregistrant son premier album de jazz R&B "Expressions" à l'âge de 17 ans. Au cours de sa jeune carrière, Uriel a tourné, joué et enregistré avec de nombreux musiciens traditionnels et chrétiens. artistes au fil des ans avant de recevoir sa vision sur "The Prayer Album". Depuis la sortie de "The Prayer album", Uriel a décidé de consacrer son talent à 100% au ministère. Il a ébloui les auditoires de la convention du Quatuor national aux villes de tout le pays avec le Dr David Jeremiah et Turning Point Ministries. Son album le plus récent est un enregistrement en direct qui a eu lieu en Terre Sainte, en Israël. Uriel réside actuellement à San Diego, en Californie, et s'efforce constamment de créer de la musique dans le seul but d'inspirer et de réconforter le monde.  

Marthel Abel avec ce texte nous a démontré une artiste bourrée de talent, et notre première recommandation, c'est d'encourager l'artiste à avoir autour d'elle les bonnes personnes afin qu'elle puisse être conseillée comme il le faut.

Le comite Critiques et Appréciations du magazine BGospel a évalué la musique "Fè-l tankou li" de Galaxy évangélique.  Nos Appréciations : Galaxy évangélique a présenté un beau sujet. Un texte centré sur la parole de Dieu, comme il est écrit dans Marc 16:15 : "Allez dans le monde entier, et annoncez la Bonne Nouvelle à toute la création ». "Fè-l tankou li" se démarque par une magnifique structure musicale, commençant par le Slap du bassiste et en nous entraînant dans un voyage à travers de sympathiques mélodies. Les notes des trompettistes indiquant les transpositions, et un changement de chapitre marqué par le saxophone souple et agréable, en bref, ce compas en gamme mineur nous a présenté un Galaxy évangélique solide, qui continue à grandir en expérience. Les qualités de cette musique entraînante; une bonne orchestration, de talentueux musiciens, un sujet d'actualité. En résumé, c'est une excellente musique avec une touche typiquement Capoise. Nos Critiques : Le choix de la Basse et des cuivres pour introduire la musique est excellent, à l'exception du fait qu'on a l'impression d'une absence de souplesse, d'articulation entre les notes jouées par les trompettistes, ce qui amène un sentiment de trop de bruit, ce qui nous a donné une impression de fanfare. Les cuivres étaient-ils trop forts ? Le chanteur a une voix qui convient à la chanson. En revanche, on se demande est-ce que si l'on avait baissé la tonalité de la musique, l'impression de forcer la voix n'aurait pas disparu. Le premier couplet était difficile à comprendre, le second beaucoup moins. Les scènes avec « les personnages externes » auraient dû être remplacées par des scènes plus réalistes. L'incorporation de ses scènes n'a pas été très fluide, on avait l'impression d'une perte de signal entre deux chaines de télévision qui se chevauchent. Pendant que le claviériste jouait, la scène avec la personne qui buvait de...

originaire de l’Artibonite, particulièrement Gros-Morne, Prospère est né le 14 janvier 1975. Comptable licencié, il travaille dans le secteur bancaire depuis plusieurs années. C’est un mari et un père d’une fille de trois ans. C’est un fils abandonné par son papa avec qui il n’a pas de bons rapports. Il vit à Port-au-Prince depuis 1995, là où le tournant de sa vie professionnelle et sa carrière musicale allaient changer.Après des études jusqu’en classe de rhéto chez les frères du Collège Jean XXIII à Gros-Morne, c’est dans la capitale haïtienne que Prospère vient poursuivre son apprentissage, pour une quête de mobilité sociale et de prospérité d’abord au Lycée Alexandre Pétion, puis à la faculté d’Agronomie qui coïncide avec son intégration au groupe Alabanza. Le jeune étudiant et passionné du sax doit choisir : la musique l’emporte. Cependant le groupe lui offre une alternative alléchante sous forme d’une prise en charge des frais d’études jusqu’en troisième à une université privée où il étudie la comptabilité. Pendant une dizaine d’années, Prospère souffle aux côtés de Carl Joseph, Yves Virgile et autres, et contribue aux succès de cet éminent groupe dont il se sépare « partiellement » en 2003 L’âme d’un musicien… Connaissez-vous un adolescent qui traîne derrière la fanfare d’un cortège funèbre juste pour écouter la musique ? Qui clandestinement assiste intégralement aux heures de pratique de son professeur de musique, le trompettiste et maestro Wilner Jean ? C’est Prospère Marcellus. Il doit patienter jusqu’en classe de septième année fondamentale pour rencontrer l’objet de sa passion au collège Jean XXIII. C’est tout naturellement que le petit Prospère brille en classe de musique, au point de bénéficier, lui et un autre camarade, des cours particuliers. Au fait, c’est de la trompette qu’il apprend à jouer réellement, même s’il a d’abord choisi le saxophone quand il intègre la...