sociales

Le comite Critiques et Appréciations du magazine BGospel a évalué la musique "Bonjou Kretyen" de Roosevelt Jean Noel. Nos appréciations "Bonjour Kretyen" est un titre qui sort de l'ordinaire. L'introduction du texte est cohérente. Les images dans leur ensemble sont vraisemblables. Les percussions mettent en avant les capacités indéniables de Roosevelt comme musicien. La mélodie est entraînante, bien articulée et harmonisée, on comprend ce qui est chanté sans se forcer, avec une orchestration professionnelle du début à la fin. Une qualité sonore très plaisante pour les oreilles. La vidéo montre que Dieu est infini à travers des images de la nature. Elle fait la promotion du côté septentrional du pays. Ce chant fait référence aux deux passages suivants de la Bible, le Psaume 118 verset 24 et Proverbes 15 verset 13. Félicitations Roosevelt. Nos critiques Concernant l'introduction, la musique externe dure 30 secondes sans aucune explication ni image, puis la vidéo ajoute 15 secondes d'introduction musicale, soit 45 secondes d'introduction pour une chanson de 5 minutes 33. Il est difficile de dire si c'était une station de radio, si l'auteur était dans un moment de prière tôt le matin pour remercier Dieu pour ce nouveau jour, ou autres choses. Quand l'artiste dit « Pou nou menm ki se Kretyen », la vidéo nous montre deux sœurs  « Tèt mare » et un frère. Aucune autre catégorie de chrétiens ne nous est présentée à d'autres moments de la vidéo. On peut se questionner si ceci est une représentation fidèle de ceux que l'on désigne sous le terme de chrétien ? À partir du pont (bridge), certains peuvent se dire que cette musique ne me parle pas. L'auteur ne s'adresse plus à tout le monde. Il dresse un tableau noir autour du mot Chrétien. Ainsi, on dirait que Chrétien est seulement souffrance, misère et pauvreté.  Les scénarios ne correspondent pas...
Trois jours après, il y a eu des noces à Cana en Galilée. La mère de Jésus était là, et Jésus fut aussi invité aux noces avec ses disciples. Jean 2: 1, 2. Un mariage coin avoir lieu à Cana, en Galilée. Les Étrangers étaient les parents de Joseph et de Marie. Le Christ savait qu'il y aurait une réunion de famille et que de nombreuses personnalités y sont présentes; aussi, en compagnie des disciples qui venaient de se joindre à lui, se dirigea-t-il vers Cana. Dès qu'on sut que Jésus était arrivé dans cette ville, une invitation spéciale lui était adressée à ses amis. >Participe aux personnes de toutes les conditions participant à ce festin et, bien que l'ombre de mondanité a eu son exécution, il a eu cette réunion. Il y avait une leçon pour les disciples du Christ à travers tous les temps; ils ne doivent pas s'exclure de la société, ni renoncer aux relations sociales, ni se séparer volontairement de leurs semblables. Pour atteindre toutes les classes, nous devons nous rencontrer à l'endroit où elles se trouvent, car elles nous chercheront rarement de leur propre chef. Ce n'est pas seulement le haut de la chaire que les hommes et les femmes sont touchés par la vérité. Le Christ éveillait l'intérêt des hommes en allant parmi eux pour leur faire du bien. Il les cherchait au milieu de leurs activités quotidiennes et il leur témoignait un intérêt sincère dans leurs occupations habituelles. Il allait dans chaque lieu de naissance son message et il plaçait sous l'influence de la divine présence les familles tout entières qu'il enseignait dans leurs propres foyers. Jésus censurait l'intempérance, les dérèglements et pourtant il était sociable. Il accepte aussi bien de partager le repas des nobles et des grands que celui des...
De même que le christianisme de la fin du 19e siècle s'est largement réorganisé face à la question sociale, en pensant des formes inédites de solidarité, les implications de la mondialisation actuelle, autant que l'intérieur de nos sociétés , à la hauteur de ces défis. Une journée de débats tous azimuts et sans tabous, avec des ateliers de réflexion: Programme: La solidarité, hier et aujourd’hui (11h30-13h) Frédéric Rognon (Université de Strasbourg) Eric Thimel (délégué départemental du Secours catholique et pilote du réseau Anaïs, Nîmes) Philippe Verseils (secrétaire général de la Mission populaire, Paris) Pause brunch (13h-14h) La fabrique des précarités (14h-15h) Marie Orcel (secrétaire générale de l’Association Protestante d’Assistance, Nîmes) Christophe Deltombe (ancien président d’Emmaüs, président de la Cimade) Ateliers et pause café (15h-16h30) Changer de politique, changer d’imaginaire (16h30-18h) Nicolas Cadène (rapporteur de l’Observatoire de la laïcité) Olivier Abel (Institut Protestant de Théologie, Montpellier) Georgina Dufoix (ancienne ministre des Affaires sociales) Modération de l’ensemble de la journée: Nathalie Leenhardt, directrice de Réforme En lien avec le numéro des Cahiers du christianisme social de la revue Foi & Vie 2018/4 Nouvelles richesses, nouvelles pauvres. Repenser nos solidarités (offert aux participants avec le dossier participant) Pour s'inscrire (participation aux frais de 10 €), cliquer sur ce lien. L’article Sixième convention du Forum protestant est apparu en premier sur Regardsprotestants. Auteur Gabriel Tertrais Source de la publication

Dans l'acutalités...