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Coupes dans l'aide étrangère : Les évangéliques protestent contre Trump et Musk Le 11 mars 2025, à Washington, plusieurs groupes évangéliques, dont Bread for the World et World Relief, ont organisé une vigile de prière pour protester contre les coupes drastiques dans les programmes de l'USAID, annoncées par Elon Musk et Marco Rubio. Ces coupes affectent des millions de personnes vulnérables dans le monde, notamment en RDC et en Haïti, où des programmes vitaux sont menacés. Contexte des coupes dans l'aide étrangère Les coupes de l'USAID concernent environ 83 % des programmes, ce qui entraîne la suspension de nombreux projets humanitaires. Les évangéliques dénoncent ces décisions comme un échec moral et appellent le Congrès à rétablir les financements. Les manifestants se demandent comment aider les victimes de ces coupes et comment soutenir les ONG humanitaires touchées. Lisez : La candidature de Trump ne suscite plus le même engouement chez les dirigeants évangéliques Impact humanitaire des coupes de l'USAID L'impact est particulièrement grave en RDC, où des milliers d'enfants risquent de souffrir de malnutrition due à la suppression des programmes nutritionnels. Les chrétiens évangéliques se mobilisent pour sensibiliser l'opinion publique et les décideurs politiques sur l'importance de maintenir ces programmes vitaux. Réactions et intentions de recherche De nombreuses personnes se demandent pourquoi les évangéliques critiquent Trump et Musk sur ces coupes. La réponse réside dans l'impact direct sur les communautés vulnérables que ces groupes soutiennent. D'autres cherchent à comprendre les motivations de Trump et Musk derrière ces décisions, ou encore comment soutenir les ONG affectées. Informations complémentaires sur la vigile Date de la vigile : 11 mars 2025 Lieu : Washington Organisateurs : Bread for the World, World Relief Impact : Suspension de 120 millions d'euros de projets humanitaires

Le Bureau de la Foi à la Maison Blanche renaît sous l'administration Trump Le 7 février 2025, le président Donald Trump a signé un décret exécutif rétablissant le Bureau de la Foi à la Maison Blanche, marquant un tournant significatif dans les relations entre l'État et les organisations religieuses aux États-Unis. Cette décision, qui renforce l'influence évangélique au sein du gouvernement américain, a suscité à la fois des éloges et des critiques. Une nomination controversée À la tête de ce bureau nouvellement réouvert, Trump a nommé Paula White-Cain, une pasteure évangélique pentecôtiste bien connue pour être sa conseillère spirituelle. Cette nomination souligne l'engagement de l'administration Trump envers sa base évangélique, tout en ravivant les débats sur la séparation de l'Église et de l'État. Objectifs et controverses Le Bureau de la Foi, logé au sein du Conseil de politique intérieure, aura pour mission principale de lutter contre ce que Trump qualifie de "biais anti-chrétien" dans les institutions fédérales. White-Cain travaillera en étroite collaboration avec le procureur général Pam Bondi pour aborder les questions de discrimination religieuse. Cependant, cette initiative n'est pas sans controverse. Même parmi les chrétiens conservateurs, certains voix s'élèvent pour critiquer le choix de White-Cain, la considérant comme une "fausse enseignante". Implications pour la liberté religieuse La réouverture du Bureau de la Foi sous Trump soulève des questions importantes sur l'équilibre entre la protection de la liberté religieuse et le maintien de la séparation constitutionnelle entre l'Église et l'État. Les défenseurs de cette décision affirment qu'elle renforcera les droits des croyants, tandis que les critiques craignent une érosion des principes laïques. Cette décision de l'administration Trump reflète une tendance plus large de l'influence évangélique dans l'administration Trump, qui continue de façonner la politique américaine et le débat public sur le rôle de la religion dans la société. À lire aussi: Donald Trump promet son aide à l'église baptiste...